Lettre commune à trois frèreS
Rappel :
Je suis un simple citoyen de bonne volonté qui essaie d’être
« juste » et de mettre au mieux en pratique l’Evangile et les Saintes
Ecritures (même si je le fais plus intuitivement que par leur connaissance
profonde) ; Je crois au Christ et je viens en Son Nom ! Ne le
concevez-vous pas ? Je suis très
honoré (mais je n’en demande pas tant) qu’involontairement et implicitement vous
me fassiez conférer le statut de Prophète, car il est écrit « nul n’est
Prophète en sa Nation…», (et en me
rejetant comme je le constate à travers les faits (anticipés dans un précédent
courrier) que je vis depuis, au lieu de me porter reconnaissance, secours et
coordination !). Est-ce là la conception pragmatique de la charité de
ceux à qui le Christ a recommandé de se livrer avec circonspection et
discernement à reconnaître les signes et de mettre en pratique les Saintes Ecritures!
Préférez-vous (par votre attitude) contribuer à me faire chuter ou à
m’aider ?
Est-ce que je vous apparaît si peu « juste »
et mon action (de grâce) si peu en conformité avec la Volonté du Père que vous
n’appliquiez pas avec zèle les prescriptions des Saintes Ecritures (Cf par exemple Isaïe 26 , (le verset 7 en
particulier)) et m’aidiez si peu, ….et me rejetez même !
De fait, que vous m’apportiez davantage un ignorant
mépris qu’une fraternelle entraide ne me gênerais guère à titre personnel, mais
j’y vois là à la fois une insulte envers les Prophètes, le Christ, les Apôtres
et tous les Saints, et donc vis-à-vis du Très-Haut. Un tel déni de chrétienté,
me contrarie profondément. Car que vous le veuillez ou non, j’ai été choisi par
le Ciel pour mener ici-bas un combat menant à Sa Victoire, et j’ai bien
l’intention d’y parvenir, avec ou sans vous… mais je préfèrerais que ce soit avec vous et les valeurs que vous
défendez (en théorie) et que vous honoreriez en rejoignant mon combat.
Comprenez que la Sainte Victoire est en marche,
mais qu’il nous vaudrait mieux agir en
concertation, dans la mesure où la
Vision m’en est confiée, et que vous êtes sur le terrain.
Ne
tombez pas dans les écueils des excès de vertu, et interrogez-vous de savoir si
l’excès de prudence (sans pour autant tomber dans la témérité), de discrétion
ne confine-t-il pas à l’inaction et servirait de prétexte à une certain laxisme
ou à de la lâcheté ? (lequel peut-être tout aussi néfaste que l’ action mauvaise
ou l’action malveillante).
Concrètement, que faites-vous donc des « Heureux les Hommes
de bonne volonté », « béni soit celui qui vient au nom du
Seigneur », « béni soit celui qui mettra l’Evangile en pratique » ?
Qu’est
ce qui vous dérange chez moi? Vous qui
refusez mes approches par téléphone, il serait, me semble-t-il, utile soit que
je vous explique ce que vous n’auriez pas compris d’un côté, soit pour me
parfaire de l’autre, et avancer ensemble.
Y
avez-vous déjà réfléchi ? Si vous croyez au Saintes Ecritures et donc à
l’avènement de l’Apocalypse :
Quand situez vous sa période la plus propice? La
situation mondiale (climatique, écologique, financière, sociale…) n’est pas
assez critique ? L’Humanité n’est globalement pas tombée assez « bas » pour
vous?
Que je me sois adressé aux 7 « rois » les plus influents de
la planète? Cette coïncidence et tant
d’autres avec les Ecrits de Saint-Paul et
des Apôtres est-elle trop belle qu’elle vous inspire davantage de méfiance que
de confiance dans la foi ?
-
Que je serve intuitivement
« tout le monde » (les non croyants, les juifs, les chrétiens,
les musulmans, des sages et des moins sages…) ne m’a-t-il pas été prédit?
-
Que je note la
coïncidence entre l’apparition récente de la constellation du papillon annoncée en septembre 2009
(correspondant à l’emblème du papillon qui m’est apparue et que j’ai livré depuis
longtemps) et le « signe dans les étoiles » promis dans l’Evangile,
vous laisse-t-il indifférent ? Et, ça, ça ne s’invente pas !
-
Les fruits pacifiques que j’apporte ne vous sied-ils
point ? Vous vous attendiez peut-être à ce que je descende du ciel avec des
ananas ?..... Des goyaves peut-être,
que j’aurais dû prendre le risque de livrer chez vous ? Vous auriez sans doute mieux reconnu
l’Esprit qui m’anime!
-
Peut-être les mots
que j’utilise vous dérangent-ils? N’étiez-vous pas prévenus qu’ils seraient
ceux d’un homme envoyé « dans
le monde » ?
-
Comptez-vous
longtemps alourdir le joug du fardeau (pourtant léger) que je porte à bout de
bras ?
-
… Ou allez-vous
enfin « percuter », vous redresser et vous retrousser les
manches ?
Ne
savez-vous voir « en moi » le moindre attribut du « Prince de la
paix » (cf Isaïe 11).
Ne
savez-vous reconnaître les bourgeons du figuier ? Où vivez-vous ?
Ecoutez-vous les émissions politiques ? Lisez-vous l’actualité ? Ne
ressentez-vous rien ? Ne voyez-vous pas l’élan donné au sentiment de
respect de la nature, à la prise de conscience des dérives (les anges divins
aidant) de la finance de ce monde (monde des apparences) ? Ne saurez-vous
reconnaître mes fruits en Jésus ? Ne nous (les esprits qui m’animent et
leur humble serviteur qui s’adresse à vous ce jour) accorderez-vous pas même un
concours de circonstances et ne saurez-vous pas reconnaître le sceau qui nous
unit ? Relisez donc et ayez foi cf Jean 15 par exemple, le verset 26 et 16
(1, puis 8 puis 13 à 15) notamment.
Ce qui me blesse aussi, c’est que j’ai écrit à un, puis
deux, puis trois prélats pour les aviser de leur surdité, (conformément aux prescriptions de la gestion des reproches
de l’Evangile, je m’en suis expliqué…/…;
vous en êtes-vous au moins entretenus ?). Quel accueil m’avez-vous fait alors qu’il nous est demandé
de savoir trouver le juste en tout être et
donc la présence du Christ en chacun ? Je vous le redis clairement : votre manque de communication semble
patent. Aucun contact ne m’a été permis en retour des informations
confidentielles …/… que je vous ai adressées, et à chaque prise de contact
retour, c’est avec soit mépris, soit condescendance que j’ai été considéré.
Il
me serait désagréable d’étendre le cercle de ceux à qui je fais part de mes
reproches à un premier évêque, puis à un second, puis à un subordonné mais
néanmoins frère de celui-ci.
Comprenez
ceci : conformément à l’exemplarité et à l’enseignement du Christ, l’Esprit
de vérité qui m’anime craint le Seigneur, c'est-à-dire craint la Vérité absolue et son
jugement. Les écrits restent. Aussi, c’est en état de conscience maximale
possible que je les rédige, et que je suis prêt à en rendre compte (ou à m’en
expliquer dans une certaine mesure), de mon vivant vis-à-vis de ceux à qui je
les adresse, et pour l’Après-vie, vis-à-vis du Très Haut et donc de toute âme
qui me demanderait de lui rendre compte.
Alors maintenant, réfléchissez vite, mais réfléchissez
bien ! Voyez si vous êtes prêts à assumer plus longtemps votre refus (devenu collectif de fait) de m’ouvrir
votre porte (répondre favorablement à mes rendez-vous téléphoniques), et par là
même le refus de servir d’une façon renouvelée l’Humanité. Que vous le veuillez
ou non, que vous le compreniez ou non, Le Père tient ses promesses et j’ai une
mission à accomplir. Donc, dans la mesure où mes capacités me suivent, je n’ai
pas l’intention d’y renoncer, même si ceux dont la mission serait de m’aider à
trouver la meilleure voie possible s’y refusent. De toute façon, un jour vous
réaliserez et rendrez grâce au Très Haut, tout en Lui demandant pardon de
ne l’avoir pas cru ou mal compris! Pourvu que cela se fasse de votre vivant et pas
au détriment de tout ce dont vous avez la charge ! C’est à vous de voir. Comprenez
que le temps passe et que mes capacités à épargner les incrédules récalcitrants
du juste sort qui les attend s’amenuisent !
C’est aussi dans l’action « juste et
bonne » que chacun doit s’accomplir, comprenez-le.
« Heureux le serviteur si son
seigneur en rentrant le trouve occupé à faire ce qu’il doiT »
Que chacun se demande donc quel est son rôle dans le
vie et face à une situation donnéE
Avoir rappelé les hommes politiques à leurs devoirs,
après leur avoir montré leur déni de Démocratie commence à porter ses fruits,
et ce sont les laïcs, (n’est ce pas un comble ?), qui sont devenus les
plus vaillants à revêtir des habits menant à la Terre Nouvelle Promise.
« N’imitez pas les maîtres de la loi » nous enseignait déjà le
Christ.
Souhaitez-vous
que ce soit là mon cri ? L’Histoire est-elle un éternel recommencement des
erreurs humaines, ou bien le salut
universel ne doit-il pas passer par la prise de conscience du sens de l’Histoire,
du sens du progrès (notamment spirituel), conformément au Plan (transmis notamment
par les Prophètes) et à la Volonté
Paternelle de rassemblement
spirituel de ses enfants et de son Oeuvre? Nous avons encore le choix ! Pour combien de temps ????
Comprenez que Notre Père est long à la colère, mais de là à penser qu’Il en est
exempt....c’est un pas que je ne saurais conceptuellement franchir. Il y a des
règles de vie qui nous ont été édictées, des expériences de vies rapportées,
des explications et des promesse faites…N’est-ce pas? …Vous qui les enseignez !
Réfléchissez ! Pensez-vous que le peuple puisse
avoir confiance en des prélats (vous en l’occurrence) alors que moi-même je me
demande presque si je peux encore avoir confiance en vous quand je vous écris
sous cette forme pour mieux vous
instruire et par là instruire le Pape, au point que je ne sais même pas si vous
communiquez convenablement mes missives en l’aidez à mieux appréhender la
situation!
Peut-on me reprocher de vous faire
confiance et passer par vous pour livrer mes fruits? Le Très Haut y verrait-il là le fait de donner des
perles aux cochons ? …/…
Rq :
Les signes que le Pape a envoyés aux initiés vous semblent-ils aussi
insuffisants ? (Messe dans l’église
« Sainte Marie de la
Victoire » peu après la réception de mon courrier, invitation
de Mr FILLON au Vatican, apologie directe de la charité, indirecte de la
culture du secret et de la discrétion, messe avec nos frères juifs et
musulmans, rapprochement des différentes églises du Christ,…).
Vous a-t-il fait part en
fraternité de certaines lois de l’Esprit et du début de l’eschatologie que je
lui ai envoyés ? Il le peut, sachant que vous êtes tenus au secret et que
votre avis est souhaité, me semble-t-il.
* * *
Veuillez prendre connaissance
…/… : Quand intègrerez-vous que je suis le vassal du Très Haut et suis chargé
de mener (avec le Christ Victorieux et ses alliés les Prophètes en moi) Leurs
valeurs à la Victoire?
…quitte à être légèrement
provoquant …comme le Christ en son temps.
Que ce soit la parabole du
figuier ou celle d’Isaïe, il nous est dicté de nous redresser et de nous
entraider pour la Gloire
de Celui à qui nous devons tout.
Ne me croyez-vous pas lorsque
je vous explique que le Seigneur opère un peu comme il a opéré avec Samuel, à
ceci prés que le Père emploie avec moi bien moins la clair audience directe et
qu’ainsi, je ne lui ai pas répondu « j’écoute », mais « je suis éveillé
et en alerte maximale vis-à-vis de Vos signes, Seigneur ».
Etc…
Fraternellement.
G.A.D.
P.S. :
Si je n’ai pas su trouver les mots suffisants pour vous faire rejoindre le
saint combat supra-oecuménique que je mène, lequel est promis à la Victoire pour les Hommes
de bonne volonté, puisse Notre Père me le pardonner ; par la présente, Il
m’est témoin que j’aurai fait le maximum pour vous prévenir. A chacun son
choix, à chacun son sort. Au-delà des mots, de certaines explications (herméneutiques
ou pas), le saut dans l’inconnu ne
peut s’opérer que par les ailes fournies par l’espérance associée à une
certaine sagesse et à la foi, consciente d’apparence, mais surtout inconsciente
et profonde (non révélée la plupart du temps, sauf à certaines occasions).
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